Protestation: une nouvelle vague de manifestations à Port-de-Paix contre le magistrat Josué Alusma

Par TRiboLAND.com

Dans la ville de Port-de-Paix, une effervescence palpable régnait alors qu’un vaste mouvement de protestation prenait forme. Ce mouvement, marqué par un élan populaire, semblait rappeler à tous les acteurs politiques corrompus que la population n’avait aucune intention de permettre au maire criminel Josué Alusma de briguer un quatrième mandat à la tête de la municipalité.

Ce samedi 25 janvier 2025, la coalition FÒSNOU, en alliance avec plusieurs regroupements politiques du Nord-Ouest d’Haïti, poursuivait sa lutte sur le terrain, cherchant à faire entendre sa voix face aux autorités qui, depuis une décennie, s’affairaient à piller les ressources publiques dans la municipalité de Capois La Mort. Un puissant mouvement social envahissait les rues, portant un message clair à l’encontre des politiciens véreux qui se plaisaient à vendre des postes publics au détriment des intérêts des masses défavorisées.

La ville de Port-de-Paix était véritablement en ébullition! Des citoyens de tous horizons, outrés par la provocation que représentait la candidature de Josué Alusma, s’étaient levés pour exprimer leur mécontentement. Cet homme, qui avait transformé la ville en un véritable dépotoir, avait osé envisager un retour aux affaires, provoquant ainsi des larmes chez les malheureux victimes de ses actes criminels et de l’influence des gangs. La population, unie dans sa colère, chantait et battait le pavé dans un calme déterminé, revendiquant haut et fort la démission d’Alusma et ses alliés complices qui, depuis dix ans, avaient laissé la ville sombrer dans l’ordure ou effondrement.

Les manifestants, visiblement intransigeants cette fois-ci, brandissaient de nombreux pancartes dénonçant le maire, qui, en raison de menaces de gangs tels que Ti Bwadòm et de complicité avec des policiers malintentionnés, avait kidnappé l’âme de la population. Ils ne comptaient pas se laisser intimider par un mouvement qui aspirait à maintenir Josué Alusma dans son siège, un homme dont les crimes dans le Nord-Ouest du pays demeuraient gravés dans les mémoires.