France : un camerounais qui violait sa fille de 13 ans depuis des années aux arrêts

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Il s’appelle Olivier Fonou. Dans un texte, Thierry Pat, Coach et motivateur des femmes raconte cette triste histoire.

« Olivier Fonou dit « Sop » est un homme que je connais car il était membre d’une réunion dont j’étais le trésorier. Je suis à la fois surpris et abasourdi par cette nouvelle. Au départ j’ai pas voulu aborder le sujet, mais j’ai pensé à l’adage très populaire qui dit  » qui ne dit mot consent ». Selon ce que Olivier a l’habitude de raconter, il a connu son épouse dans sa jeunesse au Cameroun. Chacun a ensuite fait son chemin séparément jusqu’au jour où le destin les a réunis en France. Liliane dans son parcours a d’abord eu une jolie petite fille qu’elle a laissé au Cameroun et une autre en France avant de retomber sur son amour de jeunesse qui a trouvé les mots pour la convaincre de devenir sa femme », raconte  Thierry Pat.

« Quelques années plus tard, le couple donna naissance à deux autres enfants (garçons). Pour prouver qu’il est un bon papa, Olivier adopte les deux enfants de sa dulcinée nés avant le mariage. Les années passent et Liliane ne supportant pas la distance avec le fruit de ses entrailles qui est restée au Cameroun, le couple décide de faire venir la petite fille en France afin qu’elle puisse vivre auprès de ses frères et sœur. Le calvaire de l’enfant commence dès qu’elle met les pieds en France à l’âge de 11 ans. Son papa l’a viole chaque fois que l’occasion se présente et lui disant de se taire. L’enfant garde le silence pendant deux ans, jusqu’à ce jour fatidique où ses copines d’école lui demandent si elle connaît déjà goûté le fruit défendu. La petite répond : « Oui je le fais avec mon père ». Ses camarades d’école interloquées lui conseillent d’en parler à sa maman si non elles le feront elles-mêmes. C’était mercredi dernier », poursuit ce dernier.

Le lendemain sa femme conduit sa progéniture chez le médecin

« Jeudi après les cours la petite fille appelle sa maman et lui dit en pleurant  » maman je vais te parler ». Elle lui explique que papa l’a viole depuis qu’elle est arrivée en France et il lui a dit de ne dire à personne. Elle renchérit que la veille quand papa l’a envoyée (maman) pour aller faire les courses, il est resté faire encore. Au retour du père il nie les faits et la Maman décide d’appeler la police et jure qu’elle va le tuer. Au téléphone la police conseille au papa de quitter la maison afin qu’un crime n’ait pas lieu. Il va se réfugier chez une amie à lui arguant qu’il veut être en sécurité, qu’il est accusé à tort d’un crime qu’il n’a pas commis et compte prouver son innocence. Le lendemain sa femme conduit sa progéniture chez le médecin et c’est là où après les examens on découvre que l’enfant de 13 ans a le  » jessica » plus ouvert que celui d’une femme adulte. Le papa est ensuite convoqué à la police d’où son incarcération jusqu’à ce jour. Je précise que sa propre fille naturelle de presque 18 ans vit avec eux dans la même maison », poursuit Thierry Pat.

« Je loue le courage de cette femme qui n’a pas lésiné sur les moyens pour faire incarcérer le mari violeur. Beaucoup d’autres auront protégé leur mari parce qu’elles veulent préserver leur mariage. Beaucoup de femme ont ignoré les cris de détresses de leur enfant juste parce qu’elles ont peur de jeter leur mari à la vindicte populaire. Certaines femmes voient leur enfant comme leur rivale lorsqu’elle se plaint des agissements de son père », conclut le coach.

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