Le pape Léon XIV clame la liberté des otages retenus en captivité et exhorte la communauté internationale à apporter une aide d’urgence à Haïti en pleine crise.

Par TRiboLAND.com
Après la prière de l’Angélus, le pape Léon XIV prit la parole depuis la fenêtre du palais pontifical. Son regard se posa sur la foule de fidèles rassemblés sur la place Saint-Pierre, et son ton grave résonna dans l’air clair de ce dimanche d’août. Il exprima avec émotion sa profonde inquiétude face à la crise qui secoue Haïti, un pays en proie à la violence et à la souffrance.
« La situation du peuple haïtien devient de plus en plus désespérée, » dit-il d’une voix empreinte de gravité. « Des informations alarmantes parviennent de là-bas, faisant état de meurtres, d’actes de violence de toutes sortes, de la traite d’êtres humains et de nombreux kidnappings. »
Il fit une pause, laissant ses paroles s’imposer dans le cœur des fidèles. Puis, d’un ton ferme mais compatissant, il lança un appel pressant : « J’en appelle à tous ceux qui ont le pouvoir, à tous ceux qui peuvent agir. Libérez immédiatement les otages. » Son message résonna comme un cri de justice, un appel à la solidarité universelle.
Le pape ne s’arrêta pas là. Il invita la communauté internationale à agir concrètement, à soutenir Haïti dans sa quête de paix et de stabilité. « Donnons à ce peuple meurtri l’espoir d’un avenir meilleur, d’un pays où chacun pourra vivre en sécurité et en dignité, » clamait-il avec force.
Quelques jours auparavant, l’Église locale avait déjà exprimé sa colère et son indignation face à une tragédie récente : le kidnapping de huit personnes, dont un enfant et une missionnaire irlandaise, à l’orphelinat Sainte-Hélène de Kenscoff. La déclaration de l’archidiocèse dénonçait cette « nouvelle barbarie » et cette « ignominie », soulignant la nécessité d’un acte de justice.
Ce dimanche, l’appel du pape résonna comme une lumière dans cette obscurité, un message d’espoir et de solidarité pour un peuple qui, plus que jamais, avait besoin de soutien.






