La Havane__(TRiboLAND) La Havane a dénoncé par le bias du ministre des Affaires Étrangère de Cuba, Bruno Rodríguez, et a voué récemment la vision migratoire de l’administration de Donald Trump qu’il a qualifiée d’infraction grave des droits de l’Homme.
Sur son compte Twitter, le chef de la diplomatie cubaine s’est dressé opposé à la politique “zéro impunité” de Washington qui fustige la migration et il a rappelé que, dans ses installations limitrophes, le Service de l’Immigration et de la Supervison des Douanes des États-Unis maintient les expatriants claustrés dans des contraintes inhumaines.
Lundi passé, ces individus incarcérées aux États-Unis ont disposé d’une revendication pour acquérir une assistance médicale appropriée, particulièrement pour les gens estropiées, et ils ont pareillement révélé les mesures punitives qui les maintenaient donc enfermées.
Un communiqué récent du Bureau de l’Inspecteur Général du Département de la Sécurité Nationale a éclairé la claustration dans laquelle étaient tenus les immigrés à l’intérieur de ces différents logements, mettant en garde contre un cas qui dévoile un danger imminent pour la santé et la sureté des policiers de l’État et des personnes séquestrées.
Malgré les plaintes addressées des non-documentés et des groupes nationaux et internationaux, le président des États-Unis maintient sa politique de bornage du redevance d’asile, notamment en ce qui vise les migrants centre-américains quittant leur territoires à cause de la situation economique et de la brutalité qui y règnent.
