Nous sommes des imbéciles et le CORE GROUP nous guide comme des « kabrit tomazo » !

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07/09/2021

Servir est ma destinée ; serviteur est mon seul titre et ma profession.

Kerlens Tilus

Si certains d’entre nous n’ont rien appris de la saga de 2004 ; moi, j’ai beaucoup muri, et j’ai eu la chance de faire un travail d’analyse extraordinaire sur 35 années après, de 7 Février 1986. Je demande à ceux qui ne comprennent pas le symbolisme de l’assassinat d’un Chef d’État, même de facto par des soi-disant mercenaires étrangers où ses gardes de corps l’ont livré en pâture à des chiens enragés, de fermer leur gueule pour au moins prier. Un pays n’est pas un terrain de jeu ; mais un bien un espace délimité qui doit être organisé et géré avec des lois et tout un mécanisme. Je ne vais pas faire de citations ici ; je vais droit au but. Nous sommes tous des petits sales nègres aux yeux des Blancs, et même de ces soit disant mulâtres, Arabes qui ne sont pas des blancs. Nous ne pouvons pas faire les mêmes erreurs à répétition. Quelqu’un qui n’a pas la capacité de s’autoévaluer et s’autocritiquer, ne pourra jamais évaluer son adversaire. Qu’est-ce-qui fait la force des grandes puissances ? Les forces dites vives de ces pays qui se sont regroupés pour devenir un « establishment » ont établi ce que l’on appelle un « Pacte de Gouvernabilité », et c’est à partir de ce pacte qui est remanié de temps à autre qu’elles arrivent à maintenir le cap vers la stabilité, le progrès et l’enrichissement aux dépens des pays non-organisés et appauvris comme le Congo et Haïti.

Je ne vais polémique avec personne ; mais j’aimerais bien demander à ces pseudos journalistes en Haïti de prendre du temps pour lire Jacques Derrida et sa théorie « Déconstruction ». Écoutez bien ; nous ne pouvons pas continuer à faire les mêmes erreurs et s’attendre que le chaos que nous avons provoqué par notre insouciance sera résolu ; et notre pays cessera un bon matin d’être une latrine. À 45 ans, je ne saurais faire la leçon à des hommes et femmes qui ont bénéficié de ce système pendant près de 40 ans, et qui, par égoïsme, aimeraient toujours être chefs de pelotons pour continuer à massacrer le bas peuple. Qu’est-ce qui est si difficile à un Haïtien de comprendre, surtout un intellectuel haïtien ? Aristide, Martelly, Jovenel Moïse sont des individus qui sont des symboles et qui représentent un « système ». Qu’est-ce-qu’un système ? Littéralement, un système est un ensemble abstrait dont les éléments sont coordonnés par une loi, une théorie ou encore un ensemble de pratiques organisées en fonction d’un but. Des gens de la trempe de Liliane Pierre Paul, soit disant journaliste senior, même n’étant pas universitaire devrait être en mesure de comprendre et d’expliquer à son auditoire ce qu’est le « Système peze souse » qui tient Hayti/Haïti dans la merde depuis 1806 ; et inviter les gens à réfléchir sur les éléments qui le constituent, comment ils sont coordonnés, par quelle loi, quelle théorie ; quelles sont les pratiques qui soutiennent les éléments et pour quel but ; et comment s’en débarrasser ?

Je suis fatigué du racisme, de l’apartheid, des différents types de discrimination comme immigrant, Haïtien, exilé. Je suis incapable de regarder mes parents dans le blanc des yeux pour parler de pays. Non seulement, ils ne me comprendront pas parce qu’ils n’ont jamais rien compris comme citoyens qui ont laissé le bateau percutant un iceberg en haute mer pour se réfugier dans un canoé de sauvetage, et pour vivoter aux États-Unis d’Amérique pour faire l’éducation de leurs enfants et nous donner un avenir meilleur. Mon père, ancien soldat des FADH qui a laissé Haïti en 1980 répète toujours qu’il n’avait pas voyagé, mais qu’il avait bien « pati ». Autrefois, ces paroles me faisaient mal, et je croyais que mon père était un insouciant qui n’aimait pas son pays ; mais avec l’âge et l’expérience ; j’ai appris à marcher dans ses mocassins. Je vais m’attarder un peu sur la vie de mon père. Mon père est un orphelin de père dès l’adolescence, et il avait cinq petits frères et sœurs qui devaient continuer à vivre. Le premier réflexe, après les funérailles de son père, il était devenu un homme qui devait prendre en charge sa famille, aider sa tendre mère veuve, même quand il avait deux grandes sœurs qui ont assumé leurs responsabilités, et qui sont toujours les Potomitans de la famille, ainsi que ma marraine, la sœur qui l’a suivi. Mon père est un homme brillant qui a une intelligence émotionnelle au-dessus de la moyenne et qui aurait pu être un grand général ou un grand scientifique s’il avait grandi dans un pays développé comme les États-Unis d’Amérique. Mais, sans forme de procès, il a laissé l’École Secondaire pour aider sa mère à élever ses petits frères et sœurs. C’est ainsi qu’à l’âge de 18 ans, mon père devint enrôlé au sein des FADH, et il a passé huit années honorables entre les Casernes Dessalines et le Palais National.

Tant soi peu, mon père a lutté, et en 1980, à 30 ans, il a choisi de laisser à Haïti pour se retrouver à New York où il a construit sa vie. Entre moi et mon père, ce n’est pas toujours le mariage, mais toujours une guerre incessante. Mais, six ans de cela, avec toute ma science comme universitaire, je me suis dit pourquoi je ne peux pas avoir une relation franche, amicale et saine avec mon père qui n’est pas seulement un géniteur, mais qui a pris soin de moi, et qui m’a prouvé qu’il m’aimait ; mais n’avait pas toujours eu la bonne méthode pour m’affectionner (me montrer son affection). Je ne veux nullement que des gens me prennent pour un égocentrique qui parle de soi pour se faire voir. Je parle de moi, de ma vie, de ma famille, de mon père pour faire une entrée en matière pour expliquer la relation que j’ai eu avec le Président Jovenel Moise, depuis Mai 2018 où un beau matin, aux environs de minuit 30, il a décidé de m’appeler pendant que j’étais au téléphone avec un adulte qui a tant essayé de m’amener à faire la paix avec moi-même, Frantz Rimpel, pour m’entretenir sur les affaires d’État ; et chercher une certaine collaboration avec moi. Je n’ai pas rejoint l’équipe du Président de la République ; mais on a échangé durant trois années, et ceci fréquemment. Notre dernière conversation remonte à trois semaines, et le Président voulait savoir pourquoi j’étais si rassuré qu’il ne verrait pas le 31 Décembre de cette année vu que je le disais à des amis communs.

Comme mon Père modèle, qui n’a pas pu terminer ses études classiques après la mort prématurée de son père, Jovenel Moise n’a pas eu le privilège d’être élevé dans un foyer avec ses parents et faire de bonnes études. Si Haïti avait un système qui prenait en charge les orphelins, les enfants démunis, les familles à petite bourse, on n’aurait jamais eu des aigris comme Jovenel Moise, Jean Bertrand Aristide, Moise Jean Charles qui sont la risée des « Ti Nèg » de « Pòtoprens » et de Labouchwazi malpropres et malfaisants. Jovenel Moise a pu me convaincre en trois années qu’il était prisonnier d’un système qui est une bête à sept têtes et à dix cornes. Qui, avec le pauvre palmarès de Jovenel Moise aurait refusé l’offre de Reginald Boulos, de Martelly et du MRE (Most Repugnant Elite) de devenir Chef d’État ? Dans ma génération, la plupart de mes condisciples, camarades scouts et de quartier vivaient avec leur mère, et leur père était soit à l’étranger, soit irresponsable. Ma génération est constituée en grande partie d’adolescents qui ont vu leurs parents « pran kanntè » pour aller chercher la vie aux États-Unis d’Amérique, aux Bahamas, et autres îles de la Caraïbe. Nous avons grandi avec un vide émotionnel, et nous sommes tous des malades mentaux. Qui pis est, nous avons vécu des moments difficiles de 1986 à 1994, et après de 2000 à 2004. On a volé notre adolescence et même notre jeunesse. Moi, grâce à Dieu, j’ai eu la chance de connaître le Bicentenaire de 1980 à 1986 vu que je suis né en 1976. J’ai eu la chance de visiter le Zoo temporaire aux Champs de Mars, je savais aller au Kermesse, au Maswife sur le Boulevard à Saint Marc ; j’avais eu le temps de faire des excursions avec mon groupe scout, Sadrac Hyppolite ; j’ai eu la chance d’avoir des grands-parents qui m’aimaient et qui m’ont appris à aimer ; mais tel n’a pas été le cas pour ceux qui sont nés en 1986 et après ; ils n’ont pas vécu, mais vivoté.

Il y a une machine qui produit des aigris, des frustrés et qui créent des conflits entre parents et enfants ; qui détruit la jeunesse, qui vole l’enfance et l’adolescence des gens et qui bousillent toutes les structures de la société. Trois ans d’échanges assidus avec Jovenel Moise au téléphone et sur les Apps comme WhatsApp, Facebook Messenger, m’a permis de comprendre la vie des « ti nèg » de province qui doivent lutter pour frayer leur voie dans la République de Port-Au-Prince. Écoutez mes amis, j’ai combattu Jovenel Moise parce que je savais dès le début qu’il était un paria, un outil, une marionnette entre les mains des mafiosi du « système peze souse ». J’ai cessé d’appeler Jovenel inculpé en 2019, après que Réginald Boulos m’ait contacté, à la suite de la publication sur Rezonòdwès, le 20 Janvier 2019 d’un article où je me suis demandé si Jovenel Moise est ignorant ou méchant. Le docteur Boulos m’a fait savoir que Jovenel était un chic type, grand travailleur, bon leader au sein de la chambre de Commerce du Nord’Est, etc. L’assassiné Jovenel Moise m’a expliqué comment de Trou-Du-Nord, il a pu arriver au pouvoir avec le slogan vide de « Nèg Bannann ». Futurologue, j’étais honoré de pouvoir échangé avec un Chef d’État comme bon me semble qui connait ma famille puisqu’il a pu travailler avec oncle depuis 1989, et pendant plusieurs années. Le Président Jovenel Moise était un animal traqué qui ne pouvait même pas respirer. Reginald Boulos a coincé le Président pendant deux années ; il prenait son café matinal à la demeure du Président de la République. Jovenel Moise m’a même dit que c’est Mr. Boulos qui le dictait son emploi de temps chaque matin, où il devait aller, et ce qu’il devrait dire ; et en bon comédien bonimenteur, il s’exécutait.

Jovenel Moise pouvait être un « ti nèg andeyò », mais il n’était pas sot. Jovenel Moise lisait tous les documents qu’on lui soumettait pour signer. C’est un grand lecteur très actif sur les réseaux sociaux. Il y a deux hommes en Haïti qui ne dorment jamais la nuit : Patrick Moussignac et Jovenel Moise. Toro parle à des gens toute la nuit, et Jovenel Moise lit des documents et des livres toute la nuit. J’ai refusé l’offre du Président de devenir son Conseiller, car je savais qu’il n’était pas libre de ses actions, et je ne voulais pas être le « tchyoul » de quiconque ; mais j’ai accepté de lui proposer certaines lectures et de faire des cours pour lui, surtout l’expliquer le Concept de l’État, de système, d’Administration Publique. J’ai passé trois mois à partager avec le Président en 2018 des informations sur l’Énergie comme membre d’ACORE (American Council On Renewable Energy). J’avais expliqué au président Moise que l’énergie est trop cruciale pour être entre les mains d’acteurs privés comme Rouzier, Bonnefil et Vorbe qui ne fournissent rien comme résultat. Malheureusement, leurs contrats ne pouvaient être modifiés. De toute la bande de ces marchands de Blackout, Daniel Gérard Rouzier est le plus malin. Il a la part du lion avec E-Power qui est secondé par la BID et la Banque Mondiale, et il est l’ami de Martelly, et membre à part entière de Labouchwazi ; mais on ne parle jamais de E-Power et de Rouzier, car il est malin. Dimitri Vorbe a eu des démêlées avec Laurent Lamothe pour une histoire de « Biznis telefòn » et ce dernier a choisi de le persécuter, non sans raison. Qu’est-ce que je veux faire et pourquoi je vous raconte tout cela ?

Trois semaines de cela, le président m’a dit ce que je savais déjà, qu’il allait être assassiné, et il m’a donné les raisons. Mais, il m’a demandé de lui faire une promesse : De ne pas laisser ses maîtres, alliés et éternels ennemis de l’opposition myope et vagabonde cracher sur son cercueil et salir sa mémoire. Je pleure le départ de Jovenel Moise parce qu’il avait toujours refusé l’offre de voir un Conseiller Spirituel du genre d’un Pasteur honnête et sincère qui pouvait lui parler de JÉSUS-CHRIST, du Plan de Salut, et de son Évangile d’Amour. J’avais expliqué à Jovenel Moise que seul JÉSUS-CHRIST pouvait le libérer du carcan où il se trouvait. Jovenel Moise était un animal traqué. Je sais des choses, et je continuerai à parler jusqu’à ce que j’arrive à monter cette équipe de patriotes consciencieux qui pourra enfin se mettre debout pour défendre les intérêts d’HAÏTI et d’HAYTI. Je demande à tous les nègres qui ressemblent à Jovenel Moise qui me ressemblent physiquement de cesser le matraquage et l’autodestruction. JOVENEL MOISE EST ASSASSINÉ PAR SES « HANDLERS » ALIÉS, CEUX QUI L’ONT MIS AU POUVOIR. Je vivrai pour parler de Jovenel Moise, sa vision, ses rêves cachés, sa rébellion et de tout ce qu’il m’a raconté comme « ti nèg » esclave bossal, chien rampant et couchant du CORE GROUP, de Labouchwazi et d’une bande de « ti nèg wouj », des ratés qui séchèrent les coups, qui faisaient les 400 coups, qui n’ont pas fait honneur à leurs parents et qui sont devenus des « Chefs idiots » bandits légaux et qui ont pris en otage l’ÉTAT, l’Administration Publique et tout HAÏTI.

Je ne suis pas ici pour blaguer, je mets ma vie en danger, celui de mon fils, de ma famille pour lutter pour la libération de mon pays. Que j’aime mon pays ! Que j’aime mon Père Fondateur Dessalines que j’ai appris à aimer avec les cours d’histoire du soir, fort tard le soir avec le Père Antoine Adrien. À l’âge de 12 ans, j’ai fait ma promesse scoute : « Sur mon honneur et avec la grâce de Dieu, je m’engage à servir de mon mieux Dieu, l’Église et la Patrie ; à aider mon prochain en toutes circonstances et à observer la Loi Scoute ». Durant la préparation de ma promesse avec les chefs Gélin, Frantz Corvil, Fritz Content, Frantz Gilles et l’Aumônier du Groupe Sadrac Hippolithe, il y a un mot qui revenait toujours sur le tapis : HONNEUR, mot d’Honneur. Je n’ai jamais oublié ce que le Chef Frantz Gilles m’a dit en passant le foulard à mon coup : Tu es maintenant un serviteur au service des autres. Voilà ma motivation dans la vie ; je veux servir. Je me suis battu chaque jour pour faire au moins un B.A., une Bonne Action quotidienne. Être scout, ce n’est pas porter un uniforme, mais c’est vivre la loi scoute, les principes et les maximes ; c’est marcher sur les traces de JÉSUS-CHRIST, le Bon Berger et chercher à devenir plus « moun », de jour en jour. J’honore Baden Powell, ce grand Templier et Chevalier de la Table Ronde comme j’ai appris à aimer mes grands-parents, mes parents et tous ceux qui ont contribué à faire de moi un Homme Droit et Fier.

Je tiendrai ma promesse envers le président assassiné, Jovenel Moise qui avait compris son combat et qui a choisi son sort. Le Baphomet à six cornes dans les hauteurs de Trou Du Nord a accompagné le président Jovenel Moise qui a bel et bien accepté son sort, son sacrifice. Je suis plus que rassuré que Jovenel Moise entre de pleins pieds dans le Panthéon des grands Chefs Révolutionnaires comme Toussaint Louverture, Jean Jacques Dessalines et Henri Christophe. Que Mon DIEU, Mon CRÉATEUR et Mon JÉSUS-CHRIST me donne la force et le courage pour dire la Vérité, toute la Vérité et rien que la Vérité sur tout ce que je sais sur le « Système peze souse » qui s’est établi le 17 Octobre 1806, sur la montée fulgurante et surprenant de Jovenel Moise, qui a prêté serment comme président inculpé, mais qui a été très téméraire et n’a pas voulu fuir comme le Peureux Jean Betrand Aristide, un Bluffeur Patenté.

Je lance un appel à tous les bons Chrétiens Catholiques et Protestants, à tous les bons Vodouisants, et tous les bons Mages, et tous ceux et celles qui ont la crainte de DIEU de se battre afin que Jovenel Moise soit le dernier « Esclave des champs », devenu « commandeur de plantation » qui soit utilisé comme un papier latrine et « flush », assassiné par les Ténors du système peze souse. Chers jeunes de mon pays, l’Avenir nous appartient ; laisser nos Héros et Pères Fondateurs en Paix ; ils ont accompli leur mission ; battons-nous pour montrer à nos éternels bourreaux et ennemis que nous sommes également des Enfants de Dieu. Je crois avec toute la force de mon âme que nous vaincrons. Je pleure mon impuissance face à un Jovenel Moise affaibli au téléphone, mais qui a accepté son sort. Les assassins seront jugés. J’ai déjà adressé une Lettre à l’Administration Biden pour leur dire ce que je sais ; et je lutterai pour qu’Haïti cesse sous peu d’être la Cour Arrière des États-Unis d’Amérique, le GRAND SATAN qui tue et détruit comme bon lui semble.

Notre Père Fondateur, Jean Jacques Dessalines n’est pas l’ancêtre de Bigio, Kédar, Boulos, Apaid, Abadallah, Shemali, Saliba et toutes les autres familles mafieuses qui soutiennent le « système peze souse » avec l’aide des pays du CORE GROUP et de leurs bras armes sanglants : CIA, MOSSAD, MI5, MI6, Vatican, etc. Nous nous battrons face à l’envahisseur qui est chez nous depuis le 17 Octobre 1806. J’ai servi mon pays d’adoption avec fierté en qualité de bon citoyen qui a reçu de grandes opportunités pour faire de bonnes études universitaires. Le 17 Octobre 2016, j’ai remis mon badge pour continuer à servir, mais les déshérités et les appauvris de mon pays. Je Vaincrai avec Mon DIEU, Nous Vaincrons ; le Peuple Haïtien/Haytien Vaincra !

Si les Administrateurs du Rezonòdwès me le permettra comme ils l’ont fait durant ces cinq dernières années, j’utiliserai leur réseau pour faire cet appel à la solidarité afin que nous puissions joindre nos flambeaux en faisceaux pour projeter une lueur nouvelle sur l’Écran d’Haïti. Comme mon Grand Cousin Monferrier Dorval, originaire du Grand Lakou Morlette, Jovenel Moise a fait le sacrifice de sa vie parce qu’il avait refusé de laisser le pouvoir à une bande de coquins et de patins qui ne voulaient/veulent le remplacer pour faire leur beurre comme Ti Claude Joseph. « Karma is a bitch ». Comme Monferrier Dorval, Jovenel Moise, Toussaint Louverture, Jean Jacques Dessalines, Henri Christophe et tous ceux qui ont fait le sacrifice de leur vie pour la Libération d’HAYTI trouveront justice. Il y a un INCRÉÉ qui est le Grand Justicier ; nous mettons notre Espoir et Espérance en Lui Seul, et Il tiendra Parole ! N’ayons pas peur ! N’ayez pas peur ! Comme le dit si bien Victor Hugo ; Ceux qui vivent sont ceux qui luttent. Comme le dit Frantz Fanon, “Chaque génération doit, dans une relative opacité, affronter sa mission : la remplir ou la trahir “. Ma génération, 1965-1990 remplira sa mission qui est de faire d’Haïti, un pays viable et la Lumière des Nations.

En ce présent moment, nous sommes tous des imbéciles et bouffons, nous, petits nègres qui se laissent mener par le CORE GROUP esclavagiste et raciste, et les mafieux assassins de Labouchwazi. « Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. » (Dr. Martin Luther King). Aujourd’hui, plus que jamais, nous avons grand besoin d’apprendre à pardonner, nous pardonner et se pardonner ; ainsi, nous pourrons être en mesure de nous aimer, s’aimer les uns et les autres, nous valoriser, aimer notre Patrie, et travailler pour sa libération, sa stabilité et son progrès. Le combat sera très difficile, mais une poignée de bienpensants peut faire ce travail, avec l’aide bienveillante du SAINT ESPRIT. Il y eut un Toussaint Louverture, un Jean Jacques Dessalines, un Henri Christophe, un François Capois La Vie ; il y aura toujours des hommes et femmes Mapous, capables de contrecarrer les forces ténébreuses.

HAYTI n’est pas la propriété privée du CORE GROUP, des ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE, encore moins, celle de BIGIO, KEDAR, APAID, BOULOS, et tous leurs sbires, tchyouls, larbins et chiens couchants vils apatrides. Pour le Pays, pour les ancêtres, Marchons-Unis ! Ils ne peuvent pas nous tuer tous ; il y aura toujours un faible reste pour leur apprendre et montrer que « tout moun se moun ».

NOUS VAINCRONS !

« Sòm 90

BONDYE LA POU TOUT TAN !

Lapriyè Moyiz, sèvitè Bondye a. Seyè, ou te toujou yon pwoteksyon pou nou depi sou tan zansèt nou yo jouk koulye a. Anvan menm ou te kreye mòn yo, anvan ou te fè latè ak tout sa ki ladan l’, depi tout tan ak pou tout tan se Bondye ou ye. Ou di moun se pou yo tounen sa yo te ye. Ou fè yo tounen pousyè ankò. Milan (1.000 an) pa anyen pou ou, se tankou yon jou. Se tankou jounen ayè ki fin pase a, se tankou yon ti kadè nan mitan lannwit. Ou fè yo pase tankou yon rèv, tankou pye zèb ki leve yon jou maten. Li grandi, li fleri, nan aswè li fennen, li cheche. Lè ou ankòlè, se fini ou fini ak nou. Lè ou move, ou fè kè nou kase. Ou mete devan je ou tou sa nou fè ki mal, ou mete peche nou fè an kachèt yo aklè devan ou. Ou koupe sou lavi nou paske ou ankòlè. Anvan nou bat je nou, lavi nou fini. Dènye bout nou se swasanndizan. Si nou gen bon sante, n’a wè katreventan. Men, avantaj nou jwenn nan tou sa se sèlman tray ak mizè. Talè konsa nou fin viv, n’ al fè wout nou. Kilès ki konnen jan ou ka ankòlè? Kilès ki konnen jan pou yo pè ou lè ou move? Moutre nou pou nou pa bliye jan lavi nou kout, pou nou kapab chache konprann tout bagay. Seyè, kilè w’a tounen? Gen pitye pou sèvitè ou yo. Chak maten, voye benediksyon ou sou nou! Konsa, n’a chante, n’a toujou gen kè kontan. Koulye a fè kè nou kontan pou menm kantite jou ou te ban nou lapenn, pou menm kantite lanne nou pase nan mizè. Fè moun k’ap sèvi ou yo wè sa ou ka fè. Fè pitit pitit yo wè jan ou gen pouvwa. Seyè, Bondye nou, pa sispann ban nou favè ou. Fè nou reyisi nan tou sa n’ap fè. Wi, fè nou reyisi nan tou sa n’ap fè. »

NAMASTE ! SHALOM !

Kerlens Tilus 07/09/2021
Snel76_2000@yahoo.com
Tel : 631-639-0844

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