Solution pour le kidnapping : un homme, une mission, des moyens ! Analyse d’un bloggeur avisé !

2,113

« Incroyable mais vrai !

Il m’ a fallu faire travailler mon méninge et même le pousser à son extrême pour enfin comprendre que les pays puissants n’ont pas besoin de déclarer ni faire la guerre directement aux pays faibles, mais de leur fabriquer et imposer un personnel politique et intellectuel affamés surtout insouciants capable de conduire ces Etats faibles vers le chaos par les luttes intestines pour le pouvoir et les privilèges, la corruption, la manipulation idéologique et la déculturation de leur population, la décapitalisation des couches moyennes, la criminalisation des jeunes et la “misérabilisation” des couches travailleuses rurales et urbaines. Qui l’aurait cru ? Haïti est en guerre non déclarée et indirecte depuis trois décennies contre des États puissants et moyens. Donc que faire et comment s’en sortir ? (Dr Joseph André Gracien JEAN, Politologue, Humanocrate)

Bonjour mes frères et sœurs compatriotes,

Je vous salue au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit !

L’insécurité globale, la violence à laquelle nous sommes confrontés en ce présent moment en Haïti, est une situation marquée par un trouble profond ; donc on fait face à une crise. J’ai toujours cru si chaque Haïtien avait choisi de jouer leur partition comme il se doit ; Haïti ne serait pas latrinisé et les Haïtiens ne vivraient jamais comme des porcs, de véritables bêtes sauvages. Il y a une chose que les États puissants et moyens ennemis d’Haïti comme le dit si bien le professeur Gracien Jean arrivent à faire : détruire l’identité nationale et chosifier l’Haïtien qui n’a plus d’âme. Le kidnapping de ces 17 Américains du Nord prouve une fois de plus que j’ai raison quand je dis que ce sont les États-Unis d’Amérique, les pays du CORE GROUP et la République Dominicaine qui déstabilisent Haïti. Nous connaissons les agents étrangers au timon des affaires, au sein de la classe politique, des associations de la Société Civile, de Labouchwazi, et dans les différentes sphères de la vie nationale. Le pays est dirigé, nous sommes dirigés par des criminels en puissance qui sont mis au pouvoir par des étrangers. Si durant ces 35 dernières années, nous avions du mal à mettre le doigt sur la plaie ; aujourd’hui, la vérité saute devant nos yeux : Les États-Unis d’Amérique veulent détruire, exterminer même les Haïtiens afin de pouvoir accaparer ce coin de terre. Kisa Barbecue, Lanmò san jou, Izo 5 Segonn, Ti Lapli, Chrisla et tous les autres chefs de gangs des ghettos ye pou y ap simaye latroublay konsa ? Sur ce, j’avoue que Léon Charles est un méchant, un imbécile qui se croit être intelligent. Je ne vais pas être long dans ce texte et je vais faire de mon mieux pour donner quelques idées pour résoudre cette crise qui a trop duré.

La PNH est naturellement dépassée par les évènements ; car les bandits contrôlent des territoires. La bonne volonté et disposition ne suffisent pas en cas de guerre. Nous sommes en guerre et l’ennemi est identifié. Les armes de guerre que les malfrats utilisent viennent des États-Unis d’Amérique qui ne fait rien pour stopper l’importation des armes lourdes par les chenapans de Labouchwazi et les grands ténors de la classe politique cacaisée. Les policiers haïtiens sont dépassés. Les bandits sont aguerris. Léon Charles doit admettre que la PNH comme corps civil est dépassé ; car non équipée et entraînée ; et doit donner la vérité à la population. Se konnen ki fè ! Jean Rebel Dorcénat du CNDDR avait pris son mâle courage à deux mains pour déclarer et affirmer que ce sont les diplomates américains Sisson et Helen Lalime, à travers le BINUH qui ont fédéré les gangs avec un financement de la USAID. Et, Mme Lalime avait bien dit en Octobre 2019 aux Nations Unies que depuis que les gangs sont fédérés, G9 an fanmi et alliés, l’insécurité a baissé et le kidnapping a augmenté. Nous pouvons faire semblant de ne pas comprendre ; mais la réalité est ce qu’elle est et les faits sont là. Nous savons que la Famille BIGIO, à travers le Port Lafito, importent des armes lourdes, des armes de guerre qui se retrouvent entre les mains des gangsters des ghettos. À maintes reprises, nous avons vu des saisis d’armes à feu dans différents ports, dont celui de Lafito, propriété des Bigio. Les chefs de gangs n’ont jamais hésité à dire d’où viennent leurs armes et munitions. Jimmy Chérisier Barbecue explique journellement que ce sont les « bouregeois santi » qui distribuent les armes lourdes dans les ghettos.

Depuis près d’une dizaine d’années, j’ai pu mettre la main sur certains documents qui révèlent que le masisi pédophile, Jean Max Bellerive travaille pour les services secrets dominicains depuis 1984. Des bandits à cravate comme Evans Paul K-Plim sont sur payroll de la CIA depuis la fin des années 70. Plusieurs leaders politiques, des acteurs au sein de ladite Société Civile sont des informateurs et des agents étrangers sur payroll de la Labouchwazi, de la CIA et du MOSSAD. Se Rat kay k ap manje pay kay. J’ai échappé à plusieurs tentatives d’assassinats, tant en Haïti qu’à l’étranger. Et, la dernière en date, c’était à Ottawa en Mars-Avril 2014 où des agents de la GRC (Garde Royale du Canada) étaient venus m’arrêter chez moi à 11 heures du soir sous une fausse accusation et sans mandat pour me livrer à des agents du MOSSAD qui ont tout fait pour m’assassiner ; mais JÉSUS-CHRIST était là. Ce n’est pas en 2021 que je commence à identifier les bourreaux d’Haïti. À Ottawa, plus précisément à l’Université d’Ottawa, je savais discuter avec des anciens premier ministres et ministres du Gouvernement Fédéral du Canada, et devant ma clairvoyance et grande compréhension des choses, ils me passaient des informations fiables. Nos ennemis sont identifiés, leur motif est révélé ; maintenant, nous devons travailler pour les stopper, les neutraliser, les combattre. Lisons ensemble, le psaume 71 en Haytien :

« Sòm 71

Lapriyè yon granmoun !

Senyè, se nan ou mwen mete tout konfyans mwen! Pa janm kite m’ wont! 2 Ou se yon jij ki pa nan patipri. Tanpri, sove m’ non, delivre mwen. Panche zòrèy ou bò kote m’. Pote m’ sekou! 3 Se ou menm ki twou wòch kote pou m’ kache. Se ou menm ki pou sèvi m’ ranpa ki pou sove mwen. Se ou menm k’ap pwoteje mwen. Se ou menm k’ap pran defans mwen. 4 Bondye mwen, wete m’ anba men mechan yo, anba ponyèt moun k’ap bay manti yo ak moun k’ap fè mechanste yo. 5 Senyè, se ou menm ki tout espwa mwen. Mwen mete konfyans mwen nan ou depi lè m’ te jenn gason. 6Se sou ou mwen konte depi m’ fèt. Se ou ki fè m’ soti nan vant manman m’. Se tout tan m’ap fè lwanj ou. 7Lavi m’ se yon mistè pou anpil moun. Men, se ou menm k’ap pwoteje m’ ak tout fòs ou. 8Tout lajounen lwanj ou nan bouch mwen. M’ap fè konnen jan ou gen pouvwa. 9Koulye a mwen fin granmoun, tanpri pa voye m’ jete. Koulye a mwen fin pèdi fòs, pa lage m’.n 10Lènmi m’ yo ap pale m’ mal. Yo mete tèt yo ansanm, yo dèyè pou yo touye m’. 11Y’ap plede di: -Bondye lage l’. Kouri dèyè l’, kenbe l’, paske pa gen moun pou delivre l’. 12 Bondye, pa rete lwen mwen. Bondye mwen, prese vin pote m’ sekou.

13 Se pou moun k’ap atake m’ yo wont, se pou yo disparèt. Wi, se pou yo wont, se pou moun pase yo nan rizib, moun sa yo ki te vle wè malè rive mwen. 14M’ap toujou mete espwa mwen sou ou. M’ap fè lwanj ou tout tan tout tan. 15M’ap fè konnen jan ou san patipri. Tout lajounen m’a fè konnen jan ou delivre mwen, paske se bagay moun p’ap janm fin konprann. 16Senyè, Bondye, m’a rakonte bagay ou fè avèk pouvwa ou. M’a fè chonje jan ou fè lèzòm gras. Se ou menm sèlman ki ka fè bagay konsa. 17Bondye, depi lè m’ te jenn gason w’ap aprann mwen anpil bagay. Jouk koulye a m’ap rakonte bèl bagay ou fè yo. 18Koulye a mwen fin vye granmoun, tout cheve nan tèt mwen fin blan. Tanpri, Bondye, pa lage m’. Kanpe la avè m’ pou m’ ka fè moun k’ap viv koulye a konnen jan ou gen fòs, pou m’ ka fè tout moun ki gen pou vin apre yo konnen jan ou vanyan, 19jan jistis ou rive jouk nan syèl la. Bondye, ou fè bèl bagay. Pa gen tankou ou! 20Ou voye traka ak soufrans ban nou. Men se ou k’ap ban nou lavi ankò. W’ap rale nou soti nan bouch twou a. 21W’ap fè m’ pi grannèg pase jan m’ te ye a. W’ap konsole m’ ankò. 22Se vre wi, m’a fè lwanj ou avèk kout gita. M’a fè lwanj ou, Bondye mwen, paske w’ap toujou kenbe pawòl ou. M’a chante, m’a jwe mizik sou gita mwen pou Bondye pèp Izrayèl la. 23M’a chante pou ou. M’a rele sitèlman mwen kontan. M’a chante ak tout kè m’ paske ou te delivre m’. 24Tout lajounen m’a fè konnen jan ou pa nan patipri, paske moun ki te vle wè malè rive m’ yo gen pou yo wont. Yo p’ap konn sa pou yo fè. »

Face à cette terreur, cette violence criminelle, ce kidnapping qui hante les âmes en Haïti, que faire ? Pa gen sekrè nan fè kola. Nous savons que pour combattre les gangs, il faut s’informer sur leur mode d’opération, qui les financent, leur raison d’être ; il faut faire une recherche d’informations en bonne et due forme. Il faut planifier, il faut une bonne préparation, il faut des moyens. Je ne vais pas entrer dans les détails, car la sécurité d’un pays est une affaire d’État qui ne doit pas être discutée sur les réseaux sociaux comme nos dirigeants popetwèl salamistes ont toujours tendance à le faire. Nous devons attaquer les bandits sans relâche ; et ce sont des gens bien entrainés, des militaires aguerris qui doivent mener les assauts. Après l’attaque, vient la consolidation ; il faut avancer et récupérer les territoires occupés par les bandits mètre par mètre. Après la consolidation, vient l’exploitation ; il faut mettre en place une stratégie pour empêcher la résurgence des gangs ; il faut mettre en place des programmes divers pour favoriser un climat de paix.

Ne crois pas que Jean Bertrand Aristide était un naïf quand il avait démantelé « bridsoukou » les FADH en 1995. Le Vicaire de Saint Jean Bosco, agent de la CIA, sataniste luciférien exécutait un plan bien concocté depuis 1976. La première phase de ce plan était de former une société civile, concept établi par les grandes puissances salamiques pour contrôler un pays, placer des gangsters à cravate dans toutes les sphères de la vie nationale. Ce n’est que dans les pays appauvris que l’on parle de « Société Civile ». Avez-vous jamais entendu parler de la Société Civile anglaise, canadienne, française, américaine, belge, suisse, norvégienne, espagnole, italienne, israélienne, portugaise, etc. ? Jamais ; mais on parle de la Société Civile malienne, ivoirienne, béninoise, dominicaine, sénégalaise, marocaine, lybienne, vénézuélienne, haïtienne, etc. Deuxièmement, les Syro-Libanais ont forcé l’Administration Reagan-Bush à démanteler le Régime des Duvalier et faire une « Révolte Bò Katedral, 7 Février 1986 ». Ce sont les mêmes larbins que nos bourreaux ont mis devant la scène en 1986 qui vont être utilisés pour déstabiliser le pays pendant ces 35 dernières années. Ceux qui affirment qu’ils ont fait le 7 Février 1986 sont des traîtres qu’on doit mettre à la retraite ; ce sont des apatrides. Non seulement, ils sont méchants, mais ils affichent ouvertement leur apatridie.

Troisièmement, ils ont créé une instabilité à tous les niveaux : politique, économique et social. Pour favoriser cette instabilité, il fallait démanteler les Forces Armées d’Haïti. L’Armée en Haïti ne jouait pas réellement son rôle de défense du territoire, détruire ou neutraliser la menace. L’Armée d’Haïti était un « bouyi vide », les militaires travaillaient comme des policiers ; et L’État-Major était à la solde de la CIA. Un pays a besoin d’une armée efficace, d’une gendarmerie professionnelle, et d’un Corps de Police bien entrainé et bien équipé. Quatrièmement, favoriser un climat de terreur pour porter les gens à s’enfuir, et forcer ceux qui ne peuvent pas partir à embrasser leurs bourreaux comme des sauveurs. Les bandits légaux créent des problèmes et offrent des solutions en même temps. Nous sommes arrivés à cette phase qui est bien implémentée. L’occident n’est pas dupe ; il sait comment camoufler, comment mener une guerre de basse intensité. Je vous invite tous à faire des recherches sur les armoiries des pays de l’Occident et vous comprenez que nous avons affaire à des grandes puissances rapaces. L’Aigle est un « rapace au plumage brun qui excelle dans l’art de la chasse. Avec son agilité, sa vitesse et ses serres, il est un prédateur puissant qui peut s’attaquer à des proies allant du lézard jusqu’au renard, voire une jeune chèvre. L’oiseau peut mesurer plus de 2,50 m d’envergure et peser jusqu’à 12 kg. ».

Ayant étudié l’Administration Publique et les Relations Internationales, je sais et comprend ce qu’il faut faire pour déraciner ces gangs mis en place à travers tout le pays pour tenir le peuple dans une cage. Il faut une intervention de militaires bien entrainés avec l’Ordre de Cinq Paragraphes(SMEAC). « Les militaires utilisent le système SMEAC pour documenter leurs ordres et instructions pour les opérations sur le terrain, afin qu’ils puissent transmettre ces informations à leurs troupes. » Le SMEAC est un acronyme : Situation ; Mission : détruire ou neutraliser la menace ; Exécution ; Administration et Logistique ; Plan de Communication. Nous devons mettre fin au « pale anpil » et le « pale met la ». Nous avons des militaires stratèges, tant en Haïti qu’à l’étranger qui peuvent établir un système SMEAC et ramener l’ordre dans le pays. Nous sommes en train de contacter des militaires haïtiens des FADH dans leur cinquantaine qui peuvent toujours être utiles ; nous essayons de contacter des militaires américains d’origine haïtienne à la retraite dans leur quarantaine et cinquantaine qui peuvent valablement contribuer à sauver le pays. Chers compatriotes, n’encouragez pas les gens, la population à s’armer de machettes et d’armes à feu, car les bandits sont aguerris, même s’ils ne sont pas tous bien entrainés. À force de tirer, certains financent par devenir de francs-tireurs. Vu qu’ils contrôlent des territoires, il est impossible de mettre une population civile en face de ces malfrats sans déboucher sur un bain de sang, un génocide. Ceci dit, j’invite les compatriotes qui embrassent le métier des armes, qui sont militaires, un peu partout dans le monde à se rassembler pour proposer un système SMEAC à la population haïtienne malmenée pour détruire et neutraliser les bandits des gangs.

Il y a des individus qui sont payés pour discréditer ceux qui sont en mesure de proposer du santibon au pays. Certains croient que je suis un chrétien illuminé qui attend les bras croisés que Jésus vient libérer Haïti. Homme de foi et de convictions, je crois que les institutions régaliennes sont importantes. En ce présent moment, nous n’avons pas besoin que de discours, nous avons besoin des hommes d’actions, des stratèges militaires et des militaires pour agir sur le terrain. Je veux dire à tout un chacun : pa la penn pou n ap mande ni Ameriken ni Nasyon Zini pou voye twoup ann Haïti ; car ce sont eux qui ont établi ce climat de violence intense dans le pays avec la gangstérisation et la banditlégalisation à outrance. Nous avons besoin de militaires haïtiens patriotes et nationalistes convaincus. Aujourd’hui, vous comprenez pourquoi les Américains ne veulent pas qu’il y ait une Force Armée bien entrainée et bien équipée en Haïti. Je l’ai toujours dit et je le dis à nouveau : Ce sont les Américains, l’Establishment Américain, les différentes administrations américaines, la CIA, le Département d’État, le MOSSAD qui mènent la danse en Haïti. Si nous nous amusons à donner des coups de pieds dans l’eau avec la rédaction et la signature des lettres et des pétitions, nou fenk kare nan kaka, nou fenk kare manje kaka. LOKSIDAN, CORE GROUP la, ETAZINI pap jwe ak nou la ; nèg yo se mons asasen ki vle kraze bouda nou pou yo pran bout tè LETÈNÈL te bay PAPA DESSALINES nan, e y ap travay seryezman pou yo fè sa. Je suis déjà sur pied de guerre, car yon konba rete yon konba ; epe m nan men m m ap avanse ; mwen déjà nan gè, fòk mwen batay ; epe m gen san, mwen pap rekile.

Il est deux heures du matin ; je suis sur un appel conférence avec plusieurs individus ; c’est confirmé que les autorités étatsuniennes exigent que l’État haïtien verse les 17 millions de dollars réclamés comme rançon par Lanmò san jou de 400 Mawozo. Le Ministre de l’Intérieur et Ministre a.i. de la Justice, Liszt QUITEL est en train de verser de larmes chaudes, car il a les mains liées. Le Ministre des Finances, Michel Patrick Boisvert accepte de rembourser les fonds qui seront avancés par une institution internationale. L’État Haïtien doit payer tous les frais de déplacement et de maintien du FBI et de toutes les agences étrangères soit disant impliqués dans les négociations. Ils nous considèrent tous comme des « Mawozo » ; Voilà le drame ! Le complot est total, général, constant et permanent. La solution à cette crise, doit être haïtienne, et ne concerne que nous, Haytiens. Comment pouvons-nous demander à l’Administration Biden-Harris, à l’ONU de nous venir en aide quand ce sont eux qui établissent ce climat de terreur ? Nous ne sommes pas dupes. Nou nan batay ! Je ne vais pas pleurer comme métaphysicien et chrétien croyant, car je sais qu’il y un Dieu Créateur qui peut tout faire. Le grand dilemme aujourd’hui est comment neutraliser les bandits légaux grands commis de l’État, professionnels de haut calibre de la diaspora et d’Haïti qui collaborent avec l’ennemi. Toutes nos organisations, associations et think tanks sont infiltrés par des espions. Nou gen zafè nan men nou ; nou gen yon bobori cho nan pla men nou. Je termine cette réflexion avec les psaumes 90 et 91 en Haytien :

« Sòm 90

Bondye la pou tout tan !

Lapriyè Moyiz, sèvitè Bondye a. Senyè, ou te toujou yon pwoteksyon pou nou depi sou tan zansèt nou yo jouk koulye a. 2Anvan menm ou te kreye mòn yo, anvan ou te fè latè ak tout sa ki ladan l’, depi tout tan ak pou tout tan se Bondye ou ye 3Ou di moun se pou yo tounen sa yo te ye. Ou fè yo tounen pousyè ankò. 4Milan (1.000 an) pa anyen pou ou, se tankou yon jou. Se tankou jounen ayè ki fin pase a, se tankou yon ti kadè nan mitan lannwit. 5Ou fè yo pase tankou yon rèv, tankou pye zèb ki leve yon jou maten. 6Li grandi, li fleri, nan aswè li fennen, li cheche. 7Lè ou ankòlè, se fini ou fini ak nou. Lè ou move, ou fè kè nou kase. 8Ou mete devan je ou tou sa nou fè ki mal, ou mete peche nou fè an kachèt yo aklè devan ou.

9 Ou koupe sou lavi nou paske ou ankòlè. Anvan nou bat je nou, lavi nou fini.

10 Dènye bout nou se swasanndizan. Si nou gen bon sante, n’a wè katreventan. Men, avantaj nou jwenn nan tou sa se sèlman tray ak mizè. Talè konsa nou fin viv, n’ al fè wout nou. 11Kilès ki konnen jan ou ka ankòlè? Kilès ki konnen jan pou yo pè ou lè ou move? 12Moutre nou pou nou pa bliye jan lavi nou kout, pou nou kapab chache konprann tout bagay. 13Seyè, kilè w’a tounen? Gen pitye pou sèvitè ou yo. 14Chak maten, voye benediksyon ou sou nou! Konsa, n’a chante, n’a toujou gen kè kontan. 15Koulye a fè kè nou kontan pou menm kantite jou ou te ban nou lapenn, pou menm kantite lanne nou pase nan mizè. 16Fè moun k’ap sèvi ou yo wè sa ou ka fè. Fè pitit pitit yo wè jan ou gen pouvwa. 17Seyè, Bondye nou, pa sispann ban nou favè ou. Fè nou reyisi nan tou sa n’ap fè. Wi, fè nou reyisi nan tou sa n’ap fè. »

« Som 91

Anba zèl Bondye !

Moun ki chache pwoteksyon bò kote Bondye ki anwo nan syèl la, moun ki rete kache anba zèl Bondye ki gen tout pouvwa a 2ka di Senyè a: -Se ou ki tout defans mwen. Se ou ki tout pwoteksyon mwen. Ou se Bondye mwen. Se nan ou mwen mete tout konfyans mwen. 3Se li menm ki p’ap kite ou pran nan pèlen, ki p’ap kite maladi ki pou touye ou tonbe sou ou. 4L’ap kouvri ou anba zèl li. Anyen p’ap rive ou kote ou kache a. L’ap toujou kenbe pawòl li: Se sa ki pwoteksyon ou, se sa ki defans ou. 5Ou pa bezwen pè bagay k’ap fè moun pè lannwit, ni kè ou pa bezwen kase pou malè ki ka rive ou lajounen. 6Ou pa bezwen pè move maladi k’ap tonbe sou moun nan mitan lannwit, ni epidemi k’ap touye moun gwo midi. 7Mil (1.000) moun te mèt tonbe sou bò gòch ou, dimil (10.000) sou bò dwat ou, anyen p’ap rive ou. 8 W’ap rete konsa, w’ap gade, w’a wè jan y’ap bay mechan yo sa yo merite.

9 Paske ou pran Senyè a pou defans ou, paske ou pran Bondye ki anwo nan syèl la pou pwoteksyon ou, 10 okenn malè p’ap rive ou, okenn mechan p’ap ka pwoche bò kot kay ou. 11 Bondye ap pase zanj li yo lòd pou yo veye sou ou, pou yo pwoteje ou kote ou pase. 12Y’ap pote ou nan men yo. pou ou pa kase zòtèy pye ou sou okenn wòch. 13W’ap mache sou lyon ak sou sèpan, w’ap kraze jenn ti lyon yo ak eskòpyon yo anba pye ou. 14Bondye di: M’ap sove moun ki renmen mwen, m’ap pwoteje moun ki konnen mwen. 15Lè l’ rele m’, m’ap reponn li. Lè l’ nan tray, m’ap la avèk li. M’ap delivre l’, m’ap fè yo respekte l’. 16M’ap fè l’ viv lontan, m’a fè l’ wè jan m’ap delivre l’. »

Je veux rappeler à plus d’un que depuis 1915, Haïti est envahi, occupé et est sous le contrôle direct des États-Unis d’Amérique. Le chef des 11 importateurs d’armes de guerre en Haïti est le Groupe Bigio. Les chefs notoires des gangs de rue et des ghettos sont des employés, sous contractuels des Ambassades du CORE GROUP, des ÉTATS-UNIS, de la RÉPUBLIQUE DOMINICAINE, du DÉPARTEMENT D’ÉTAT AMÉRICAIN, de la CIA, et du MOSSAD. Fils de la Lumière, je sais que l’INCRÉÉ n’as pas de rival ; rescapé de l’enfer, je sais que JÉSUS-CHRIST est omniscient, omnipotent et omniprésent. « Ne perdons pas notre temps en vaine discussion qui de toute façon, n’aboutira jamais. Contentons-nous de balancer la flamme violette sur Haïti. C’est très simple : Faisons appel en direction à la flamme en établissant des décrets et une fois appelée, dirige-la par nos pensées collectives sur Haïti et sa diaspora. ». « Quand on ne monte pas dans la Lumière qui est connaissance et pureté, on descend. Aimez-vous les uns les autres et ne critiquez personne. Que vos relations soient pures de toute médisance et de toute animosité. » (Robert Lutz)

JÉSUS-CHRIST EST LA RÉPONSE ! IL PEUT FAVORISER LA MISE EN COMMUN, LE RASSEMBLEMENT DES JARDINIERS DE LA TERRE ET DES TRAVAILLEURS DE LUMIÈRE QUI DOIVENT TRAVAILLER MEN NAN MEN POUR FAIRE FACE À L’AXE DE LA TERREUR ET DU MAL QU’EST L’OCCIDENT ET LES PAYS DU CORE GROUP.

« SISPANN KRIYE, SISPANN PLENYEN ; SECHE DLO NAN JE W, SENYÈ A KA FÈ TOUT BAGAY ! MIRAY SA KI KANPE DEVAN NOU AN, LI PA PI WO KE BONDYE. »

HAYTI VAINCRA !

NAMASTE ! SHALOM !

Kerlens Tilus     10/20/2021

Snel76_2000@yahoo.comTel : 631-639-0844

Comments are closed.